
Une exposition virtuelle de bgregoir - Foire aux Questions
J'aime bien mes promenades dans
les rues de Paris.
Pendant un moment, ne plus penser à rien.
Et se prêter...
au jeu.
Un grand merci aux Elégantes.
Sans elles, pas d'image !

Des jambes, des bas, des
mollets, des talons hauts...
Jamais de visages ?
Non. Pas de visages dans le cadre de A
Paris, Les Elégantes. La législation française
est telle quil est à mon avis devenu impossible de diffuser
un travail photographique réalisé dans les lieux public.
Cest de cette contrainte qu'est né le site "A Paris,
les Elégantes".
Demandez-vous à vos modèles
lautorisation de les photographier ?
Non, jamais. Jai tenté de privilégier
la spontanéité et le mouvement. Solliciter les Elégantes
naboutirait à mon avis quà des poses empruntées,
figées et encore plus souvent à un refus de mon modèle.
Les Elégantes vous surprennent-elles
lors de vos prise de vues ?
Très rarement. Il est vrai que jessaye
dêtre le plus discret possible. Quelquefois, il marrive
davoir la complicité implicite dune élégante.
Tout est dit en un regard. Alors là, cest délicieux
!
Et quand elles semblent mécontentes
?
Je ninsiste pas. Quand cela arrive,
je maperçois souvent que je suis moi-même mal
luné. Les femmes sentent ça tout de
suite. Moralité ? Je ne sors plus mon appareil photo quand
je me sens mal dans ma peau.
Pourquoi ne photographiez-vous pas que des
jolies jambes ?
Parce que les femmes nont pas toutes
le physique dun mannequin de haute couture et que cest
très bien comme ça.
Comment faites-vous ?
Pour A Paris, les élégantes,
jutilise exclusivement un appareil photo numérique.
Intervenez-vous numériquement sur
les photographies ?
Oui. Mais dune manière limitée.